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Le top 15 des fautes de français les plus courantes


17 October 2015 | By SISU Français | fr.yahoo

Vous êtes peut-être encore traumatisé(e) par les dictées de votre enfance et aujourd'hui encore, l'orthographe n'est pas votre meilleure amie ? Vous n'êtes pas seul(e) ! Même les meilleurs en écriture tombent dans certains panneaux de la langue française. Nous en avons compilé 15 et vous donnons quelques astuces pour les éviter et devenir un as de l’orthographe…

Cette phrase n'est pas française ! La définition du verbe "être avéré" signifie déjà que c'est vrai, la phrase ci-dessus relève donc du pléonasme. La phrase correcte est donc :
"Ce qu'il a dit est avéré".
De même on ne peut pas dire que cela s'est avéré faux puisqu'il s'agirait d'un contresens. En revanche, on peut employer le terme "s'avérer" au sens de "se révéler" et donc dire : "cette réunion s'est finalement avérée intéressante".

Une méthode infaillible pour ne plus faire la faute très courante, entre le "é" et le "er" : il suffit de remplacer par un verbe du 3eme groupe à l'infinitif. En voici une liste, choisissez-en un : mordre, vendre, rendre, cuire, dormir, prendre.Exemple avec mordre : J'ai "mordre" de me plaindre sans cesse : ça ne fonctionne pas. Il s’agit donc du participe passé. Il faut mettre un "é". La phrase correcte est donc :
J'ai arrêté de me plaindre sans cesse.

Autre méthode pour ne plus jamais se tromper avec les accents sur le "a" : conjuguez-les à l'imparfait.Ici, cela donne : Il s'est assis avait côté de moi. Cela ne fonctionne pas, le "a" n’est pas un verbe mais une préposition, il prend donc un accent.La phrase correcte est donc :
Il s'est assis à côté de moi.

"Avant que" et "après" que doivent toujours être suivis d'un temps indicatif et non du subjonctif. La phrase correcte est donc :
Il ne nous rejoindra pas avant qu'il a fini son travail.
Mais mieux vaut dire : 
il ne nous rejoindra pas avant d'avoir fini son travail.

Le participe présent "convainquant" est un faux-ami de l’adjectif "convaincant". Or, là, c'est l'adjectif qualificatif qu'il faut employer.
La phrase correcte est donc :
C'est un argument convaincant !

Second veut dire deuxième mais aussi dernier ! A moins qu'il n'y ait eu que deux participants à ce marathon. La phrase correcte est donc : 
"Il a terminé deuxième du marathon".
C'est aussi pourquoi on dit "Seconde Guerre Mondiale" et non "Deuxième Guerre Mondiale" car il n'y en a pas eu de troisième.

On met un "s" à cent lorsqu'il n'est pas suivi d'un autre chiffre. Par exemple, "deux cent cinquante fautes". La phrase correcte est donc :
Il fait deux cents fautes par mail, c'est insupportable !

Mille est invariable et ne prend donc jamais de "s". 
La phrase correcte est donc :
L'entreprise a déjà reçu quatre mille candidatures pour le poste.

Ici, "dormirai" ne prend pas de "s" parce qu'il s'agit du futur et non du conditionnel. 
Voici une technique très simple pour faire la différence entre les deux temps : employez la première personne du pluriel, le '"nous". Pour cet exemple, cela donne : n"ous dormirons mieux demain" (et non "nous dormirions mieux demain"). Donc cela signifie qu'il faut mettre au futur et enlever le "s". La phrase correcte est donc : 
Je dormirai mieux demain.


"Sensé" signifie sage, raisonné. Ici, c'est le verbe "censer" qui doit être employé. La phrase correcte est donc :
Il est pourtant censé maîtriser l'orthographe !
A ne pas confondre avec : "C’est une femme sensée, je lui fais confiance".

Attention à, ne pas confondre davantage qui signifie "plus" et les avantages qui peut aussi s'écrire "d'avantages". La phrase correcte est donc :
Ce poste m'offre beaucoup d'avantages.

L'expression "quelque soit" n'existe pas. C'est toujours "quel que soit" le risque, le prix, le lieu... ou au féminin "quelle que soit" la raison, la couleur, la motivation... La phrase correcte est donc :
Quel que soit le prix, je suis obligé de m'acheter cet outil pour mon travail.

Cette faute est très courante car plus personne ne comprend cette expression ancienne et issue du langage militaire. A l'origine, "au temps pour les fusils" était un ordre signifiant qu'il était temps de reprendre les fusils. La signification a évolué pour devenir la reconnaissance d'un certain échec doublée d'une volonté de reconsidérer les choses dans leur ensemble. La phrase correcte est donc :
Tu avais raison pour l'orthographe de ce mot, au ...

Ici, "succédé" ne s'accorde pas. Il reste en "é". Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas de COD (complément d'objet direct) qui suit le verbe. Les étapes se sont succédé l'une à l'autre. La phrase correcte est donc :
Plusieurs étapes se sont succédé.

Ici, "permis" ne s'accorde pas car il n'y a pas non plus de COD (complément d'objet direct) suivant le verbe. Elle a permis à elle-même. La phrase correcte est donc :
Elle s'est permis de me reprendre.

 

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